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Ils parlent de nous : TIM ATKIN nous a adoré!

On vous partage un avant-goût des avis étincelants de Tim Atkin. 

Intemporal rouge 2020 – IGP Pays d’Hérault. Cinsault 100%

Ce domaine aime vraiment le Cinsault et ce vin est spécial, issu de vignes âgées de 70 ans, dans une vallée cachée à 350 mètres d’altitude.

Délicatement pur avec des vagues d’églantine, de groseille, de grenadine et une véritable cascade d’herbes sauvages. Les tanins sont plus fermes que ceux de nombreux Cinsaults, ce qui lui confère une structure qui lui permettra de vieillir, sans pour autant perdre sa fraîcheur et son charme. L’un des meilleurs Cinsaults purs du Languedoc. À déguster de 2023-2030

Mala Coste rouge 2019 – Languedoc. Cinsault 50%, Syrah 20%, Grenache 20%, Mourvèdre 10% 

Belle attaque florale, merveilleuse pureté d’hibiscus, d’églantine, de fraise des bois et de griotte. Élégant, concentré avec des tanins fins 

et un charmant voile de romarin et de thym provenant de ce micro climat unique situé à 350 mètres d’altitude dans la Vallée de Rouveyrolles, au sud du Larzac. Un triomphe pour le Languedoc et au Cinsault. À déguster de 2023-2029

Joseph rouge 2020 – IGP Pays d’Hérault. Carignan 100%

Une étiquette très fleurie pour un nez floral avec une profusion de violettes et de pétales de rose. 

La bouche est plus axée sur la cerise noire et la prune, avec un soupçon de poivre et le doux parfum de garrigue. Les vignes cinquantenaire apportent de la densité sans pour autant dominer, offrant une bouche équilibrée et une longue finale. Élevé dans des ovoïdes en grès. À déguster de 2023 à 2027. 

Marius blanc 2021 – Languedoc. Cinsault 50%, Grenache   25%, Syrah 25%

Des fraises des bois et cerises rouges se mêlant à des fruits noirs pour créer un assemblage très séduisant. Des tanins souples entourent un noyau subtilement intense, de magnifiques notes d’épices asiatiques et une finale très fraîche. 

Encore un vin extrêmement équilibré de ce domaine. À déguster de 2023 à 2026. 

Mala Coste blanc 2021 – Languedoc. Grenache Gris + Grenache Blanc 90%, Terret Bourret 10%

Mala Coste, Mauvaise Côte en occitan. Pourtant, il n’y a rien de fâcheux dans ce vin. On y trouve des notes de jasmin, de chèvrefeuille, de pêche de vigne mûre, d’écorce d’agrumes, ainsi que des nuances de garrigue provenant du joyau caché de la Vallée de Rouveyrolles, entre le Larzac et Pézenas. Le Terret Bourret, rarement présent, ajoute un niveau supplémentaire de tension et vivacité à ce vin . À savourer de 2023 à 2027.

Crédit : MATTHEW STUBBS MW © 2023 Languedoc-Roussillon Special Report – All Rights Reserved

article traduit

Ils parlent de nous : IDEAT – Dourbie. Le cœur a ses raisins

Le vin ne vient jamais seul, il est toujours en bonne compagnie.
Il s’acoquine volontiers avec un être cher ou un bon petit plat, dans un cadre naturel, stylisé. Autant d’éléments qui créent des souvenirs mémorables au domaine de la Dourbie, dans le Languedoc.

Aujourd’hui installé à Bruxelles, Nicolas, pleinement engagé dans cette aventure fa- miliale, se souvient des étés passés dans le Languedoc, auprès de ses grands-parents : « L’odeur à tomber des grillades d’agneau du Larzac, le goût d’anis rafraîchissant de l’antésite, qu’on buvait façon pastis avec de l’eau et des glaçons. »

À la Dourbie, la tradition et le savoir-faire se bonifient avec une démarche disruptive, renouant avec des cépages autochtones oubliés. « Le terret bourret confère peps et fraîcheur à l’Oscar et au Marius blancs. Du côté des rouges, Intemporal est un 100% cinsault aux tanins soyeux. J’ai un faible pour Joseph aussi, un rouge gourmand, généreux », confie Nicolas.

La Dourbie en trois mots ? « Collectif pour le travail d’équipe, sans lequel rien ne serait pos- sible. Plaisir, à travers le vin, mais aussi l’expérience à vivre sur le domaine. Et durable pour saluer les efforts constants en vue de réduire toujours plus l’empreinte écologique », résume celui qui partage son temps entre la Belgique et la France. Mais à la Dourbie, on ne se contente pas de travailler la vigne et d’élever des vins de qualité avec autant d’huile de coude que de créativité téméraire. Les efforts se prolongent dans le packaging, qui allie audace et cohérence. « Nous avons entrepris une démarche globale afin d’offrir une expérience de dégustation to- tale. Le vin est un produit de plaisir, et ce plaisir passe aussi par les yeux. Sans tomber dans le gimmick, car l’épure doit rester le maître-mot. »

Pour préserver l’histoire du domaine, affirmer son identité, marquer le coup, un rebranding a été mené par l’agence bruxelloise Coast, lequel a accouché du nom Dourbie ponctué d’un point. En parallèle, les étiquettes des bouteilles, aux allures de flacons de saké, ont également été revues. « Notre approche graphique, peu commune dans l’univers du vin, reste néanmoins sobre et respectueuse du produit. Sur les quilles de Mala Coste et d’Intemporal, une trace il- lustre l’empreinte de l’homme sur le terroir, et du terroir sur l’homme », précise Frédéric Van- horenbeke, associé et directeur créatif de Coast. Mention spéciale pour les cartons kraft et les bouteilles allégées, qui font rimer biologique et écologique.

Into the wine

Le domaine a été racheté en 2003 par Emmanuel Serin et son père. Avec Laurent Graell, l’actuel directeur technique, et toute l’équipe, le domaine a progressivement trouvé sa vocation. Serin est malheureusement décédé en 2021. Alors que je ne connaissais pas les vins avant, je sens que le domaine a trouvé son rythme de croisière. C’est un domaine qui n’a pas peur de repousser les limites, d’expérimenter, d’adapter ses pratiques et de modeler chaque vin chaque année en fonction du style recherché. Viticulture biologique, pas de chênes apparents, long vieillissement dans des récipients variés tels que des œufs en argile, de grands foudres et une sélection de barriques (dont certaines sont faites à la fois de chêne et d’acacia). Les vins ont des textures soyeuses, sont faciles à boire, légers et frais. Je crois que nous pouvons montrer quelque chose d’autre, quelque chose que l’on ne voit pas habituellement dans le Languedoc”, déclare M. Graell. Il s’agit d’une entreprise moderne, tournée vers l’avenir, mais qui reste fermement ancrée dans le Languedoc : “Nous n’utilisons que des cépages méditerranéens, ceux qui conviennent à ce terroir, mais nous sommes la nouvelle génération, voyons ce que nous pouvons faire”, déclare-t-il.

Crédit: Par Virginie Dupont / Photos Benjamin Leveaux

Ils parlent de nous : DECANTER – Les 10 meilleurs domaines viticoles du Languedoc à visiter

L’œnotourisme dans la vaste région du Languedoc s’est considérablement développé au cours des dix dernières années.

La salle de dégustation donne sur la cave du Domaine de la Dourbie.

À 40 minutes de route à l’ouest de Montpellier, le Domaine de la Dourbie est situé entre le fleuve Hérault et le petit affluent de la Dourbie, d’où le nom du domaine. La salle de dégustation et la boutique, qui vend également du miel, de l’huile d’olive et du gin de la région, sont à la fois élégantes et modernes, mais aussi accueillantes et chaleureuses. L’équipe a mis au point une visite interactive du domaine – classé Jardin Remarquable par l’État français – qui suit chaque étape de la culture de la vigne et du processus de vinification, avant de s’achever par une dégustation.

Le domaine a été racheté en 2003 par Emmanuel Serin et son père. Avec Laurent Graell, l’actuel directeur technique, et toute l’équipe, le domaine a progressivement trouvé sa vocation. Serin est malheureusement décédé en 2021. Alors que je ne connaissais pas les vins avant, je sens que le domaine a trouvé son rythme de croisière. C’est un domaine qui n’a pas peur de repousser les limites, d’expérimenter, d’adapter ses pratiques et de modeler chaque vin chaque année en fonction du style recherché. Viticulture biologique, pas de chênes apparents, long vieillissement dans des récipients variés tels que des œufs en argile, de grands foudres et une sélection de barriques (dont certaines sont faites à la fois de chêne et d’acacia). Les vins ont des textures soyeuses, sont faciles à boire, légers et frais. Je crois que nous pouvons montrer quelque chose d’autre, quelque chose que l’on ne voit pas habituellement dans le Languedoc”, déclare M. Graell. Il s’agit d’une entreprise moderne, tournée vers l’avenir, mais qui reste fermement ancrée dans le Languedoc : “Nous n’utilisons que des cépages méditerranéens, ceux qui conviennent à ce terroir, mais nous sommes la nouvelle génération, voyons ce que nous pouvons faire”, déclare-t-il.

Crédit: DECANTER – Natalie Earl 

Article traduit